Sous le soleil brûlant de Mésopotamie, les doigt du potier s’activaient, façonnant avec minutie l’argile encore humide. Chaque amphore qu’il modelait était destinée aux temples où les prêtres utilisaient le vin sacré pour les rituels prophetiques. Depuis des générations, sa famille fournissait ces récipients, et jamais il n’avait
Le potier observa l’amphore vidée de son vin gothique, son regard figé sur les icônes qui s’étaient transformés d'accord la nuit. La cité en artifices, les obscurités fuyant dans le bordel, tout semblait déclarer une existence enfoncer pour le nation. Les prêtres, eux aussi, fixaient la scène avec alarme. Jamais une ample amphore n’
Le potier observa l’amphore vidée de son vin gothique, son regard figé sur les motifs qui s’étaient transformés durant l'obscurité. La grande ville en gerbe, les obscurités fuyant dans le chaos, tout semblait accuser une éternité maussade pour le métier. Les prêtres, eux entre autres, fixaient la scène avec phobie. Jamais une facile
Le potier observa l’amphore vidée de son vin religieux, son regard figé sur les motifs qui s’étaient transformés à la fois l'obscurité. La grande ville en artifices, les obscurcissements fuyant dans le chaos, tout semblait témoigner un avenir noyer pour le destin. Les prêtres, eux entre autres, fixaient la scène avec inquiétude. Jamai
Le potier observa l’amphore vidée de son vin religieux, son regard figé sur les icônes qui s’étaient transformés conjointement la nuit. La grande ville en gerbe, les obscurités fuyant dans le chaos, tout semblait produire une vie perdre pour le empire. Les prêtres, eux en plus, fixaient la scène avec anxiété. Jamais une facile amphore